VEF Blog

Titre du blog : Le goût amer de la Vérité.
Auteur : lebouletalgerien
Date de création : 11-04-2014
 
posté le 13-04-2014 à 06:21:25

Documents guerre d'Algérie.

 

 Photos de guerilla urbaine

 

« N’accablons pas certains en acquittant les autres et prenons garde que, à force d’être solidaires des victimes, nous ne soyons également solidaires des bourreaux… »

(Albert CAMUS ) 

 

 

La rue de Chartres, certainement juste avant 1958.

Rue commerçante très fréquentée de la basse casbah sous haute surveillance.

 

 

 

Manifestation anti gaulliste 11 novembre 1960

 

 

                        Manifestation anti gaulliste le 11 novembre 1960

 

 

          On envoyait souvent les paras au devant des manifestants pieds noirs.

                       La scène contraste avec le document ci dessus. 

 

 

              Les barricades d'Alger. 24 JANVIER 1960

En janvier 1960, les activistes de l'Algérie française s'insurgent et dressent des barricades pour protester contre le rappel en métropole du général Massu par de Gaulle et contre la politique du gouvernement français qui s'apprête à entamer des négociations sur l'autodétermination avec les leaders du GPRA

(Gouvernement provisoire de la république algérienne).

 

 

 

 

 

 

 

 

 Unités territoriales.

 

 

 

 

 

" La poêle à frire" aux portes de la Casbah.

 

 

 

Les trois horloges

 

 

 

 

 Arrestation d'un activiste.

 

 

 

 

 Avant l'attentat.

 

 

 Avant l'attentat.
La bombe  à retardement fut posée sous la scène par un employé du Casino.
 
 

 
Après l'explosion.
 
 
 

 
 
 Zohra Drif ,compagne de Yacef Saadi, Poseuse de bombes
arrétée le 24/9/1957,par le 1er REP
au 3 de la rue Caton
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En 2008, un Film "les Porteuses de feu" faisant l'apologie des poseuses de bombes du FLN, notamment de celle qui plaça la bombe du Milk-Bar, fut diffusé sur la chaine publique FR3.
 
Comme Yacef, Djemila Bouired et tant d'autres,  ils ne furent pas "torturés".
 
 

 

Attentat du Milk Bar

 

 

 

 

De 1954 à 1962, des tattentats presque toujours aveugles...

 

 

 

 

Des dizaines de bombes explosaient chaque nuit ...
 

 

En plein centre ville...Alger.

 

 

 

 

Devant la cathédrale.
 

Toutes les rues de la basse casbah étaient verouillées
avec des postes de contrôle.
 

  Poste de contrôle. Les bombes sortaient de la casbah
avec des femmes voilées.
 

 

Contrôle place du Gouvernement... 

 

 

Dans le bus avec les U.T... 

 

 

 

 

Une des sorties de la casbah....

 

 

 

 

Une bombe vient d'exploser...

 

 

 

 

 Le 13 mai...

 

 

 
13 mai
 

 

 

 

 

Commentaires

norbert de Stora le 03-04-2020 à 18:27:24
Très agé, lorsque j’explique aux jeunes que pendant mon enfance, nous étions désignés sous le nom d’algériens, personne ne me croit.

Et pourtant j’en étais fier, puisque français, je ne me suis jamais senti véritablement

«  hexagonal ».

Plutôt algérien, mais pas comme ces jeunes algériens de nationalité française ou non, vivant en France, qui n’ont jamais, sciemment ou non, voulu admettre que le peuple lambda des deux bords, vivait en Algérie en grande fraternité.

D’abord joueur puis entraîneur et formateur de club sportif qui rayonnait dans notre ville, la symbiose était totale entre les deux ethnies.

Et je comprends donc la manière de penser de l’auteur de cet ouvrage-verité.

J’adore me remémorer cet attachement que nous avions avec ce peuple avec lequel, a l’époque, nous étions si proche avant son détournement qui ne lui a apporté que malheurs.

Mais il me faudrait beaucoup trop de temps pour détailler, ne serait- ce, que le résumé de la quintessence des sentiments qui demeurent en moi!